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— tc#03, cherry blossoms

killing the mockingbird :: behind the game :: sujets communs
The Mockingbird
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Dim 29 Sep - 18:17



cherry blossoms

tc: exposition artistique
Le musée. Une exposition de la maison de culture japonaise. L'art ancestral bafoué par un groupe d'activistes masqués. Ils braillent en protestation. Des lettres fumantes et une rage qui gronde sur les lèvres. Les pancartes s'agitent dans la salle principale. Ici, au milieu des tableaux, des pièces précieuses et des plus grands dirigeants japonais, une tension s'élève. Une électricité valsant entre les visiteurs et les protestants.  

Pas d'ordre de passage. Privilégiez les posts courts et n'hésitez pas à interagir. Pour toute question ou suggestion, n'hésitez pas à contacter le staff. — tc#03, cherry blossoms 615934482 — tc#03, cherry blossoms 932200819
The Mockingbird
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Mer 9 Oct - 23:12


exhibition hall
La musique est douce entre les murs de la galerie. Des toiles alignées sous les néons fugaces pour auréoler magnificence d'une culture découverte au dixième millénaire. Le Japon. Le toucher céleste de la peinture et des tracés de pinceaux. @Ava Thompson a le regard figé sur les valeurs picturales d'une nation de discipline. Veuve de Costigan, tous les visages se tournent à son passage. Elle porte la marque d'une pègre virulente. Et bien qu'elle s'en détache, ses yeux, sa bouche, sa démarche — tout est menaçant dans cette silhouette charmeuse. Son regard capte le visage de son bon ami, @Edgar Smith. Il est flic. Et pourtant, son autorité se dilue au fond des goulots. L'ivresse remplace le scintillement de la plaque. A cette heure encore, il est bien trop imbibé. Les lumières s'affaissent et la protestation gronde entre les couloirs. Le hall est trop étroit et sa main agrippe le poignet d'Ava, juste quelques secondes, avant que les doigts ne s'effritent au milieu de la foule. Les prunelles qui se captent puis disparaissent dans un nuage de fumée. Et dans un instant de zèle, il s'imagine le pire. Une attaque dont elle pourrait être cible. Une attaque dont il est incapable de sauver les êtres chers, encore. La piqure de rappel est trop douloureuse. @Macbeth Delmonti est concentré. Il furète autour des oeuvres, mémorisant au milieu de cette panique, le détail accrocheur de chaque tableau. Il se voit déjà, les doigts contre le cadre et le sourire conquérant. La protestation est une diversion bien heureuse. Mais ses jambes s'emmêlent dans l'agitation et il se prend @Edgar Smith de plein fouet. La céramique glisse et éclate contre le sol. Des peaux éraflées par les bouts de verre. Et le sang qui maquille peu à peu la pièce. Leurs corps font naufrage au milieu de la salle. Là, @Henry St-James observe les pancartes. Des inscriptions portant l'empreinte irlandaise d'une encre verdoyante. Il cherche déjà à élucider le mystère. Et pourtant, toutes les pistes se chevauchent. Tous les chemins mènent à Rome. Et @Ava Thompson a disparu. C'est suspect.

Henry St-James
you can't cage the beast.
Henry St-James
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Jeu 10 Oct - 9:57




— cherry blossoms
OCT 2019

L’art.
L’art de croire que tout est possible. L’art d’aimer même dans la douleur. L’art de camoufler le pire à travers l’évidence. L’art de vivre. L’art de rien.

Quel que soit la situation, il y a aussi l’art de porter le bon masque. Pour ça, Henry sait y faire. Il a conçu les expressions adéquates pour troubler les esprits. Ses traits pourraient reprendre ceux des Kamens, ces masques traditionnels éphémère que les Japonais ont si bien conçu. Sa danse, c’est celle de l’observateur. Ses yeux scrutent, son cerveau fulmine. Impossible d’arrêter, c’est plus fort que lui. Savoir est comme une drogue. L’adrénaline qui l’accompagne fait bouillir le sang, une extase virulente qui lui occupe le souffle et le fait sourire comme le diable.

Les Italiens se sont souvenus. Des problèmes causés par un père doué, et du nom Anderson qui renaît de ses cendres. Henry ne sait pas ce qui a été découvert pour forcer ses parents à fuir à l’autre bout du pays, mais ça n’a pas d’importance. Ils sont heureux loin, et les Italiens en profitent. Une mission généreuse, et une piste encore fraîche. Son chemin l’a conduit entre ses murs, l’encre ancienne peignant des kanji précis. On est loin de la Chine, et pourtant…

Discret, il a évité soigneusement de faire face à Ava dont il connaît l’accompagnateur. Un visage familier de la police. Un rendez-vous, peut-être, qu’il ne veut pas interrompre – pour quelle raison devrait-il ? Puis l’improbable se produit et dans un élan de protestation, la foule se mêlent au public. Il cherche Ava du regard, comme il aurait cherché Ellie. Les deux seront toujours liés, il ne peut rien faire contre ça. Le coeur décide toujours. Une seconde, elle est là, l’autre, elle disparait. Sans même attendre, il est déjà auprès d’Edgar, ignorant le voleur de pacotille. Il pose une main sur son épaule, allant droit au but : « Elle n’est plus là. » Son visage ne cesse de chercher, en vain...


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Mar 22 Oct - 21:41



cherry blossoms

les mains restées dans les poches, le visage résolument levé vers les œuvres, les trésors, les détails et la beauté. une aubaine. pas vraiment l'occasion de briller, ni la volonté, juste une opportunité à saisir en plein vol, avant de se brûler les ailes. tombée à l'eau aussi rapidement que l'espoir est né. pas tes affaires, que cette angoisse latente, que ces voix aux coins du hall. ici pour la beauté des biens, bien plus que pour celle des êtres humains. activistes aux idéaux embrouillés, à trop brailler, on ne comprend un traître mots des slogans péniblement articulés.

tes yeux se plissent, au milieu du chaos, scrutent les visages et les pancartes avec une attention exacerbée, les rouages d'un esprit tortueux en plein déferlement. mouvement de foule, éclats d'art brisés. les objets qui se brisent quand les épaules entrent en collision. emporté à ton tour, tu t'as d'autres choix que de basculer, basculer pour ne pas te briser. et ton corps heurte de plein fouet une silhouette vers laquelle tu lèves tes yeux d'acier. une seconde, une seule seconde, avant que tu ne te détournes de lui, marmonnant des excuses à coup de — désolé bien peu convainquant. sans savoir comment, sans comprendre pourquoi, tu te retrouves au milieu du duo, presque acculé contre ces hommes. le bousculé et un autre, qui le rejoint l'instant d'après. tu t'es déjà détourné, assez pour ne leur présenter qu'un vague aspect de ton visage de molosse, mais pas suffisamment pour te désintéresser totalement. elle n'est plus là capte ton attention comme un secret confié dans la cour de récré. elle ? qui ? immédiatement, tu penses à une oeuvre, et c'est ça qui te fait tendre l'oreille, curieux de savoir si tu n'es pas le seul sur le coup. mais très vite, au ton employé, tu comprends, intuition persistante.

une femme ?
( il se trame quelque chose )

The Mockingbird
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Mer 30 Oct - 8:21


back door
Devant la porte, le souffle s'amenuise. Il y a tant d'oeuvres empilées. Le vide qui se creuse sous les côtes et entaille les poumons. @Devon Granger se retrouve là, un mouvement de foule qui l'a entraîné loin des autres. Du hall, de l'exposition. Elle ne comprend pas. La panique se mêle au flux de pensées. Sa main serre celle de @Harriet Lindberg. Elle ne l'a pas quitté, pas une seule seconde. Leurs regards se jaugent dans ce silence qui apaise. Puis les voix vibrent entre les murs. Il y a des gens avec eux. Et ils parlent vite. Sans dialecte. Sans accent. Des phrases fluides et succinctes. Des ordres probablement. Les coupables sont donc là. Le danger les guette. Il ne faut pas se faire prendre. Harriet esquisse quelques pas dans le couloir. Elle tente de trouver une issue de sortie. Devon la suit avec diligence, quand soudain, elles tombent sur @Ava Thompson, la femme qui a disparue du hall.

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Ven 1 Nov - 22:17


Ses doigts s'agitent dans le vide avec la régularité d'un métronome. Ils se serrent autour d'une cigarette imaginaire — celle qu'il réve de suspendre à ses lèvres, alors que le manque s'entortille autour de ses neurones. Se diffuse dans ses veines comme un ordre, une injonction à l'encontre de ses muscles et de ses tendons. Mais il y a aussi l'ennui qui s'esquisse sur ses paupières pour mieux sublimer la fatigue qui s'y inscrit déjà.
Son regard erre sur les estampes, les calligraphies et les céramiques sans en saisir les courbes, les traits et les nuances. Sans les voir, en vérité. Car ce n'est pas pour l'art qu'il s'est traîné jusqu'ici. Edgar, il est venu pour Ava. À sa demande. Il l'accompagne, pendu à son bras.
Un trophée de plus à sa collection.
Le flic qui orne le mur ; un tableau aux contours ratés, écorchés par un pinceau qui a dérapé. Le résultat d'une main tremblante.
Une œuvre bafouée à l'instar de celle qui éclate contre le parquet du musée. Tout autour de lui, la fièvre monte. L'agitation brandit sur des pancartes. Celle qui bouscule et s'excuse à peine. — Y'a pas de mal. Répond-il sans même se retourner. Sans se soucier de cet inconnu à la politesse défaillante. Ce n'est qu'une silhouette de plus, après tout. Un visage qu'il oublie déjà alors que son regard balaye la foule. Cherche Ava, en vain. Elle n'est plus là, lui dit-on. Elle n'est jamais là quand il le faut, aimerait-t-il répondre. Mais à la place, ses sourcils se froncent et ses lèvres se plissent. Les hypothèses défilent, les unes après les autres. Des plus probables — elle s'est échappée admirer une œuvre, à l'écart du hall, plus loin — aux plus mirobolantes, aux plus inquiétantes. À celles auxquelles il n'ose même pas songer. Pas encore. — Cherchons-la. Ce n'est pas une requête, mais un ordre. Une exigence insufflée par une crainte viscérale.
Qu'elle disparaisse pour de bon.
@Henry St-James @Macbeth Delmonti
Harriet Lindberg
Harriet Lindberg
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Sam 2 Nov - 21:21


Tout ce qui l'intéresse disparaît soudain de son champ de vision et Harriet se maudit d'être venue voir cette expo au lieu de fouiner sur Google Image comme elle en avait d'abord eu l'idée. Un nuage de fumée dissimule les œuvres sur l'écran de son portable et, par réflexe, elle se baisse et va se terrer dans un coin, bientôt rejointe par d'autre silhouettes qu'elle se retient de repousser d'un "pshit pshit" qui risquerait d'attirer l'attention. A la place, elle bascule son portable sur silencieux et le passe en mode "vidéo", prête à filmer n'importe quel détail qui pourrait être utile si jamais il se présentait. Une nouvelle silhouette s'approche et Harriet reconnaît en elle Devon, même si pour une fois elle ne trouve rien de drôle à lui balancer en guise de salutation. A la place, elle lui fait un petit signe de la main que l'autre semble prendre pour une invitation et qui l'amène à lui serrer la main. Harriet la fixe, aussi surprise par ce geste que par le chaos ambiant, mais repousse à plus tard le moment de lui rappeler qu'elle ne touche pas les sangs de bourbe. A la place, elle lui fait signe de se taire et tend son portable en direction des voix qui surgissent de la fumée. Elle cache l'écran d'une main pour qu'on ne le repère pas et attend que le silence retombe pour se retourner vers Devon. Fais ce que tu veux mais moi je me casse. Elle retire au passage sa main de la sienne et se faufile dans la direction opposée à celle des voix, son portable glissé dans la poche arrière de son jean. Les premiers mètres se font à tâtons mais elle gagne bientôt en confiance et accélère, jusqu'à buter dans quelque chose. Quelqu'un même. Pitié que ça ne soit pas un cadavre, pitié que ça ne soit pas un cadavre... ... le tout dit dans un souffle, tout bas, mais plein d'une sincérité absolue.

@Devon Granger @Ava Thompson
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Sam 23 Nov - 16:54


Le souffle imbibé d'élégance. Les jambes glissant, dans un geste somptueux, entre les couloirs d'une galerie infectée de chaos. Des clans, elle en reniflait l'odeur putride jusqu'au fond des poumons. Cette soif de pouvoir qui chancèle sur les tableaux fins et les nuances acryliques de l'exposition. Elle aurait dû s'en douter, que la main qui l'avait attiré hors de la salle, était destinée à l'éloigner de la foule. Un regard pétrifié sur le ravisseur. Puis le silence. Un sourire en proie à la confusion. Et elle se détachait à nouveau, libre de ses pas. Parce qu'on lui permettait de s'en aller. On lui permettait de déambuler. Vagabonde entre les lumières du couloir. Elle entendait des bruits, les respirations effrénées de deux jeunes femmes. Celles apparues par inadvertance, ici. Parce qu'elle ne devaient pas approcher du noyau de l'action. Ava, peut-être complice. Ava, peut-être éphémère. Mère de Costigan. Allié Cerbère et amatrice d'art ancestrale. Elle les tenait tous, les fragments de l'histoire. De ces attaques réitérées dans chaque coin de ville. Un coeur au bord du gouffre quand les silhouettes contrebalançaient les unes sur les autres. « Un cadavre ? Vous avez une imagination débordante. Et moi, juste assez de grâce pour faire partie du vivant. » Une sourire froid. Et l'oeil aiguisé, porté sur le téléphone qui tournait toujours. « Vous devriez éteindre votre caméra. Ce n'est pas prudent. » Ici ou ailleurs, dans une marées de corps et d'anarchie. Une lutte apprivoisée par les joutes politiques. Je me tournais pour regarder autour. Le couloir était vide. Nous étions trois. Nous étions seules. Piégées dans une compréhension qui se distillait dans le sang. Et ce n'était pas sécurisé. De flâner dans l'inconnu. De se laisser porter par les impulsions.

@devon granger @harriet lindberg  
Harriet Lindberg
Harriet Lindberg
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Sam 30 Nov - 23:31


Le cadavre se met à parler et Harriet retient un soupir de soulagement. Elle préfère avoir affaire à n'importe qui plutôt que de se retrouver nez à nez avec un mort, encore moins risquer de patauger dans des restes de sang ou de cervelle appartenant au dit cadavre. Elle se surprend à faire preuve d'un sang froid qu'elle n'imaginait pas avoir en elle dans une situation pareille, mais il ne faudrait pas exagérer et trop lui en demander. Juste assez ? Faites gaffe à pas basculer de l'autre côté alors. Elle lui balance cette mise en garde et lève les yeux au ciel tant elle trouve la précision de l'ex-cadavre ridicule. Pour qui elle se prend celle là, avec ses expressions alambiquées et ses reproches ? A croire qu'elle n'a aucune idée de ce qui est en train de se passer même si, pour le coup, Harriet partage le même problème. Sans blague. Moi qui croyais que tout allait pour le mieux, pas toi Granger ? Elle contourne alors la jeune femme qu'elle avait prise pour un cadavre, toujours à quatre pattes, et continue à avancer droit devant elle, son portable toujours dans sa poche arrière en train de filmer. D'accord ce n'est pas très prudent, elle en a bien conscience, mais elle est prête à prendre quelques risques pour de bonnes images.

@Devon Granger @Ava Thompson
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Dim 1 Déc - 14:58


L’inspiration essoufflée vous avait poussé au musée. Pour voir, toucher, grandir, vous alimenter. Des talents d’outre-mer, de ces oeuvres qui avaient bien plus voyagé que vous. Tombée sur un fantôme de votre passé - un des mauvais - au gré de vos déambulations, saluée d’un signe de tête puis royalement ignorée. Évitée.
Jusqu’à ce que quelque chose se déclenche, une manifestation véhémente, fruit du hasard ou d’une organisation millimétrée. Que celle-ci vous pousse dans des retranchements inexplorés, susurrant des paroles sombres, des slogans contestateurs. Une ambiance qui dégénère sous vos yeux, sans que vous n’en compreniez vraiment l’ampleur - un relent mauvais, une place où le mal se loge. Vous qui le connaissiez si bien, il vous apparaissait clairement.

Malgré vos efforts pour ignorer sa présence, vous vous retrouviez à ses côtés. Harriet. Au coeur de la panique, infestant peu à peu vos mouvements et vos pensées, sa silhouette devenait bouée de sauvetage, ancre familière. Vos neurones crament, emportant dans leur tombe vos appréhensions. Certains appellent ça l’instinct de survie. Mais vous voyiez les choses autrement.
Better the devil you know than the devil you don’t. Pari risqué, votre main se fraie un chemin vers celle d’Harriet sans que vous ne le contrôliez réellement. Chassant le passé, chassant vos phobies (elles reviendront au galop).
Elle filme. Vous ne dites rien, plus vraiment en état de parler. Puis s’éloigne, et n’ayant pas énormément d’options dans tous les cas, vous filez à sa suite. Pour tomber sur une femme, bien en vie, qui réussit à dire tout haut ce que vous pensiez tout bas. Harriet et la femme se disputent gentiment - conversation dont vous n’avez pas envie de vous mêler.
Jusqu’à ce que soit prononcé votre nom. Granger. L’infâme - le déclic. Tais-toi, intimez-vous à Harriet. Tais-toi, parce que vous alliez vous faire repérer si elles continuaient à piailler, tais-toi, et ne prononce plus jamais ce nom. Votre regard se perd dans la salle vide plutôt que sur celles qui vous accompagnaient. C’est là qu’elle repère le signe lumineux, faiblement. Loin d’elles.
Vous tapotez sur les bras autour des vôtres pour attirer l’attention des deux femmes, avant de pointer un doigt vers l’oasis lumineux. La sortie de secours. A des mètres de votre position. Des mètres semés d’embûches.


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