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so sick of counting tears, costigan

killing the mockingbird :: characters :: gangsters with gory hearts :: welcome to the family
Moriarty Costigan
black hole in the soul.
Moriarty Costigan
since : 12/05/2019
birds killed : 1598
faceclaim & credits : cameron monaghan + elow ;
— et cætera

— et cætera
inventory: bleach 24, some weeds, glasses, a lighter, coins, a kitkat, notebook, old picture of azel and him and a pair of boxing gloves ;
topics: (3/3) — sol & harriet, mike, riley
relationship:
Dim 12 Mai - 11:31




"if i ever find anyone half as good as you..."
(twitter + tom odell)

Costigan, Moriarty

— âge : Poor 20. — date et lieu de naissance : Produit à Dublin au début des années 1999, un matin sordide de 3 janvier. Il n’a pas besoin de réfléchir trop longtemps pour donner son âge, il lui suffit d’observer la nouvelle année. D’ailleurs, ce rapprochement lui fait défaut au point où, aujourd’hui, le mot anniversaire le dégoûte.— origine et nationalité : Le rythme prononcé de sa voix n’admet qu’une chose : ses racines purement irlandaises. Il parait que quand il s’aventure dans un monologue, quelques mots deviennent incompréhensibles au public Anglais. Cela ne l’a jamais arrêté dans sa lancée. — situation familiale : Pendant longtemps, il a été fils unique, abandonné dans un coin de la vie mouvementé de ses parents. Aujourd’hui, c’est le petit cousin qui n’avait rien demandé et qui, quoi qu’il décide, doit encaisser les règles de la vie de famille signé Costigan. — statut civil : Complètement inexistante. Il est allergique à la présence féminine depuis que l’une d’elle a cru malin de se jeter sur lui lors d’une soirée de fin d’année – un douloureux souvenir. Et les garçons, c’est tous des cons. Il est donc hermétique à toute attirance physique. — occupation : Bidouilleur affirmé, il est comme ses cousins, un criminel. Pour créer, améliorer ou démanteler n’importe quel objet, il est doué. Une machine, ça ne ment pas en même temps. Il met la main à la pâte, accepte ses missions. Cela ne le dérange pas, au fond, mais est-ce qu’il aime ça ? Aucune idée. Il fait rien de très grave d’ailleurs, il effleure à peine la surface des délits Costigan, parce qu’il n'est pas prêt, parce qu’il est trop faible et qu’on dirait une brindille déjà brisé. Aussi, puisqu’il a – lamentablement – finit le lycée, il fait parfois le serveur maladroit, mais nettoie le plus souvent les chiottes.  — traits de caractère : Une victime, Mo n’a pas le souvenir d’avoir été autre chose. Discret, depuis qu’il marche, il a toujours préféré le silence. Ce n’était pas difficile de dire les choses, il n’en avait juste pas le courage. Ce n'est pas si différent aujourd'hui. La communication, c’est un vrai problème chez lui. Il divague parfois, part dans un autre sens, ne s’arrête pas au bon moment. C’est une énigme, perdue aussi bien ses pensées que dans les choix qu’il est censé faire pour son avenir. Indécis, il ne prend jamais une décision tout de suite. Il ne sait pas, le pauvre petit, ce qu’il aime vraiment, ce qu’il veut vraiment et il n’est pas tenté par l’échec qui l’attend à chacun de ses essais. Il n’a pas confiance en ses capacités, en ce qu’il peut accomplir et avoir grandi avec des parents absents qui laissent des cadavres sous son lit, ça ne l’a pas aidé. Toujours effacé, Mo fait pitié. Il baisse trop souvent les yeux, il prend trop souvent les coups sans les retourner. Il ne pleure pas pourtant – jamais, en fait. Il est juste insensible, ou peut-être qu’il s’est toujours retenu de ressentir quoi que ce soit. Il est incapable de se définir, de parler de lui, de savoir qui il est réellement. Comment il fonctionne, c’est un mystère. Il analyse beaucoup trop et il se perd à chaque fois qu’il pense avoir trouvé une réponse. — groupe : human sadness — avatar : Cameron Monaghan


behind the face

IL Y A DES ROUTES QUI CHANGENT,
MAIS DES COEURS QUI PERSISTENT.
IL Y A DES VIES QUI DIFFÈRENT,
MAIS DES ÂMES QUI INSISTENT.

Sa tête à exploser, des millions de morceaux traînent maintenant à ses pieds. Le regard scotché, Moriarty a perdu tout souffle de vie quand son père est mort. Il a ouvert la porte et le faucheur est entrée. Un coup silencieux, un trou presque invisible qui fend le crâne et une balle qui se retrouve coincée dans le mur derrière. Le jeune garçon se trouve juste là, sous la trajectoire fatale. L’avantage d’être petit. Le corps lourd du boucher tombe alors, dévoilant le gamin au meurtrier. Une seconde de plus, et c’est à son tour d’aller en enfer. De rejoindre le reste de la famille. Il va y passer, c’est certain. Il est bloqué, figé non-pas par la peur, mais par l’incompréhension. Il ne réalise pas que le corps à ses pieds ne se lèvera plus jamais. La main gantée se pose sûr lui, une autre balle va fendre l’air pour entrer entre ses deux yeux. Pas la peine de rêver, c’est sa mère qui lui permet de survivre. Elle l’attrape d’un bras décidé, l’enroule contre son cœur et s’échappe par la sortie la plus proche. L’ombre se met à les suivre, puis l’empêche d’avancer. Jeter à l’extérieur, le jeune garçon se met à ramper, puis à courir. Ses jambes tremblent, son âme s’effrite. Ne te retourne pas, tu ralentirais pour rien. L’esprit pragmatique tente d’opter pour la survie. Il fonce, se cogne, tombe de nouveau, se faufile dans des espaces improbables. Plus loin, la mort est encore là. Il rôde. Il semble convaincu d’une chose : le petit Moriarty ne m'échappera pas. Il murmure encore au-dessus de son épaule : le prochain, c’est toi. Après le père et la mère, c’est au tour du fils. Du raté, celui qui se fait frapper dans les couloirs de l’école, celui qui a un regard violent, mais pas les mots qui vont avec. Il est ridicule, pourquoi insister. Sa vie, elle lui glissera entre les doigts, qu’il cherche à l’arrêter ou non. Ses chances de survie dans le monde sont déjà limitées, alors pourquoi continuer ? Deux mois à se cacher, à vivre de rien, deux mois à croire que sa vie est en danger pour finalement faire face à un autre ennemi. L'attente, la solitude, le sang encore collé à son visage, la faim toujours grande, le regard vidé de tout espoir. Il n'y a personne pour l'entendre hurler. Il est invisible, mais au fond, il l'a toujours été. Il ne croit plus en rien, il n'a la force de rien. Il s'est égaré, trop loin. L'option qui s'offre à lui est simple, rapide et efficace. Elle lui donne une réponse claire à la question de sa propre existence, mais avant d'agir, il est retrouvé. Embarqué de force chez le frère de son père, dévoilé à des cousins plus grands. Des frères, une véritable communauté. Moriarty, c'est un enfant. Il ne comprend pas tout, où alors il fait semblant pour ne pas s'impliquer davantage. La violence est nouvelle, le mode de vie aussi. Le sang qui coule dans leur veine, est identique au sien. Avec un prénom pareil, le crime est forcément son destin. La vengeance est une chose, mais elle a perdu de sa saveur face au peu de force qu'il possède. De mauvaises actions impliquent forcément des représailles, pourquoi vouloir entrer dans ce cercle vicieux ? La bouche close, il accepte, parfois se plaint, mais il ne résiste jamais. C'est une page blanche qu'on peut encore plier et qui, un jour, va sans doute se déchirer. Les années sont passées, et après les couloirs de l'école, ce sont les couloirs du lycée. Après le diplôme, c'est dans la rue. Faible, faible Moriarty. Esprit limité, corps épuisé. Il ne sait pas s'il peut encore avancer ou s'il veut avancer. Il fait des efforts sans véritablement se donner. Il y a un voile qui retient ses gestes. C'est un avenir pavé de mort, que lui offre son nom, il le sait. Il y en a déjà eu plein, il y en a eu un autre. Ce n'est pas effrayant, c'est normal. C'est une habitude, c'est basique. Non, ce qui lui fait peur, c'est de s'y attacher, à tous ses cadavres qui s'alignent face à lui. Ce qui lui faire peur, c'est d'aimer ça, la vie noire, la vie barbare, la vie que son père menait. C'est un grand indécis, qui essaye et qui n'aime rien. Mais peut-être bien que c'est simple de découper des corps. Peut-être bien que c'est simple de manger des âmes. Peut-être bien que pour une fois, il pourrait bien aimer quelque chose.

Il n'a ni-frère, ni sœur – ses parents étaient fidèles et amoureux (et un peu trop expressifs à ce sujet). ■ aime passer par le cimetière et déposer des petites fleurs sur les plus vieilles tombes ■ possède une collection de vinyle vieille comme le monde – unique chose qu’il a récupérée de sa vie à Dublin). ■ Très mal à l’aise face aux enfants. ■ Il a des cicatrices dans les mains, à cause de son couteau papillon – qu’il maîtrise mieux aujourd’hui ■ Il parle durant son sommeil et récite parfois du théâtre grec. ■ possède sa propre boite à outil ■ Il est soul après deux verres ■ Il est capable de porter tout et n'importe quoi, tant qu'il est à l'aise ■ Il peut passer une journée complète à regarder des films d’animation ■ Il hésite à adopter une tortue – il n'est pas certain de sa capacité à maintenir l'animal en vie ■ La première fois qu'il avait une arme entre les mains, c'était à l'âge de 14 ans. ■ Il possède une haine étrange pour le ketchup. ■ Il adore apprendre de nouvelles choses, mais ne va jamais jusqu'au bout. ■ Il ne supporte pas qu'on le dérange quand il est occupé. ■ Il ne supporte pas quand on lui parle alors qu'il est au téléphone. ■ Il mange tout ce qu'il trouve. ■ Il lui arrive de dormir en chaussettes. ■ Il a vécu dans la rue pendant deux mois et franchement, il préfère toujours le sol à un lit ■ il est capable de réciter du Shakespeare à une vitesse hallucinante ■ il a un faible pour les french fries ■ il possède un skate et un VTT qu'il a monté lui-même lorsqu'il est arrivé à Bristol ■ il ne s'est pas nagé et ne cherche pas à apprendre ■ il s'est déjà déguisé en samouraï pour halloween – mais il n'a pas fêté halloween depuis l'âge de 12 ans ■ personne ne l'appelle Moriarty et non, ses parents n'étaient pas des fans de Sherlock Holmes – étrangement, Mo est aussi doué en mathématiques que l'était le professeur ■ il n'arrive pas à planifier des choses – après tout, qui sait si demain existe ?

behind the screen

— prénom/pseudo : elodie/elow — fréquence de connexion : 5j/7 — type de personnage (pré-lien ou inventé) : inventé, modifié, cassé, réparé — comment as-tu découvert le forum ? don't freaking remember — un dernier mot ? : game over, bitches.


Code:
<y3>benjamin wadsworth</y3> — moriarty costigan



Dernière édition par Moriarty Costigan le Lun 31 Aoû - 13:52, édité 4 fois
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— et cætera
Dim 12 Mai - 11:38


momooooo is in da place  so sick of counting tears, costigan 2207364260  so sick of counting tears, costigan 2207364260
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— et cætera
Dim 12 Mai - 13:39


 so sick of counting tears, costigan 505588931  so sick of counting tears, costigan 505588931  so sick of counting tears, costigan 505588931

 so sick of counting tears, costigan 1812727698 et ça, c'est momo avec ses pot brownies.
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— et cætera
Dim 12 Mai - 13:51


my momo  so sick of counting tears, costigan 932200819
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Dim 12 Mai - 14:27


j'passe par là
bc amour de ma vie  so sick of counting tears, costigan 3014155384
et bc t'es beaucoup trop beau  so sick of counting tears, costigan 712793195
j'préfère marquer mon territoire  so sick of counting tears, costigan 2407999157
love love love love bear
Moriarty Costigan
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Moriarty Costigan
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Dim 12 Mai - 14:37


jpp, de toi @azel brixton  so sick of counting tears, costigan 3014155384  so sick of counting tears, costigan 3014155384
(trop d'amour, trop d'amour !)
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