þetta reddast !

— âge : 33 ans. — date et lieu de naissance : le 23 avril 1989 à Reykjavik, en Islande. — origine et nationalité : islandaise, anglaise. — situation familiale : elle a laissé sa mère et ses grands-parents dans son pays natal, elle leur rend visite de temps en temps. Elle peut aussi passer sur la tombe de son père lorsqu'elle y est de passage. — statut civil : célibataire, récemment séparée (larguée) à force de ne jamais rien prendre au sérieux. — occupation : ambulancière-secouriste depuis un an, après une formation de trois ans – liste interminable de petits jobs avant ça. — traits de caractère : culottée, tolérante, impulsive, excessive, franche, gourmande, impatiente, extravertie, téméraire, taquine, fatigante, loyale, volontaire, tenace, lunatique. — groupe : halcyon day. — avatar : alicia vikander. — crédits : images + citation

we won't judge you, it's your story

(einn) La jeune femme a été élevée par des forces féminines, soit sa mère et sa grand-mère ; dès lors que son père s'est passé la corde au cou lorsqu'elle n'était qu'une enfant. Elle a eu maintes occasions d'y réfléchir depuis, mais elle ne croit pas avoir un seul souvenir de ce dernier qui soit véritablement le sien, et non ce que sa famille lui en a raconté, ou ce qu'elle en a aperçu via quelques photos. Ce qu'elle en a fantasmé, aussi. Son père, c'est un idéal, un rêve intouchable. (tveir) Son père, c'est aussi tout un tas de questions sans réponses. Pourquoi ne plus vouloir vivre avec eux ? Pourquoi renoncer ? Pourquoi ne pas leur avoir laissé une lettre d'adieu, d'explications ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Plus de vingt ans après, Isla en est toujours à ressasser son ignorance lorsqu'elle broie du noir. (þrír) Autant dire qu'après ça, sa vie à Reykjavik n'était plus aussi innocente, mais irrémédiablement marquée par ce qu'elle a perdu. Quotidien trop terne, trop mort. Plus assez de distractions. Alors dès qu'elle a pu, elle est partie. L'Irlande tout d'abord, trois ans à Dublin. Puis l'Allemagne, quatre à Berlin. Un an à Amsterdam. Deux mois à Londres, et enfin, Bristol, depuis 2014. (fjórir) Ce qui lui manque de son pays ? Le vent, violent, les fortes bourrasques. Les hot pots, une partie de Brùs, le soleil de minuit. Les moments en famille. (fimm) Sans surprise, la trublionne se joue de tout. Vraiment, de tout, à la moindre occasion. Des autres, de sa sexualité, de son identité. De ce qui est attendu d'elle, ou de ce qui lui est proscrit, et des scrupules se font rare pour la retenir. (sex) La jeune femme n'est pas tant un garçon manqué, que ce qu'elle a la spontanéité d'être – même s'il est vrai qu'elle s'embarrasse rarement de maquillage ou de bijoux, et passe peu de son temps à se regarder le nombril. D'ailleurs, elle n'a eu aucune retenue à se raser le crâne le soir de ses 18 ans et de la fête qui allait de paire. (sjö) Sans surprise là-aussi, elle a un tempérament qui fait des merveilles avec les enfants. Cependant, elle n'envisage pas un instant d'en avoir un jour : il n'y a pas une seule part d'elle qui regarde avec envie l'alternative de devenir mère. C'est une volonté qui lui est apparue très tôt et très clairement ; alors les enfants c'est chouette oui, mais tant qu'ils restent ceux des autres. (átta) L'ogre est un surnom qui lui est resté à travers les années, quand effectivement, elle n'a aucune retenue à engloutir tout ce qui se trouve à portée de main. Et ce sont les délices des autres qu'elle dévore la plupart du temps, puisqu'elle fait une piètre cuisinière et n'a jamais bien eu la patience de préparer de bons petits plats. (níu) Infatigable elle l'est en effet, aussi bien dans ses âneries, que dans ses activités quotidiennes. Elle a donc très rapidement trouvé un exutoire dans le sport, pour dépenser ce trop-plein d'énergie qu'elle a à revendre. Et de sport, elle n'en a pas vraiment de favori, quand au contraire, elle aime à s'essayer à tout et n'importe quoi. Elle pourrait même être de celles à en improviser un nouveau, si seulement la drôle d'idée lui passe par la tête. (tiu) Isla a toujours tendance à s’éprendre de la cause du plus faible, qu’importe si c’est perdu d’avance. Elle ne saurait y attacher sa fierté et elle n'a jamais rien eu d'une maniaque du contrôle, alors quelle importance si elle ne l'emporte pas ? (ellefu) La jeune femme vit en colocation, ce pas seulement par souci d'économie, mais parce qu'elle est dépendante d'interactions sociales jusque sous son toit. Si seulement elle vivait seule, il ne fait aucun doute qu'elle squatterait chez des amis ou les inviterait chez elle à la moindre occasion, pour ne pas se retrouver seule en tête-à-tête avec elle-même. (tólf) Sa vie sentimentale est pour le moins chaotique. Non pas qu'elle soit une bourreau des cœurs, mais elle ne prend pas plus au sérieux ses aventures qu'elle-même. Alors il y en a avec qui ça s'est fini avec pertes et fracas, certains que ça a pu lasser, et d'autres avec qui, au contraire, elle peut occasionnellement se retrouver sur son manque d'engagement. En la matière, elle n'accumule pas une liste interminable d'ex et d'amant(e)s, mais il est vrai qu'elle n'a pas la retenue de ses attirances : quand quelqu'un lui plaît, elle le fait savoir. (þréttán) Elle a une tradition pour son anniversaire : boire de tout pour se souvenir de rien. (fjórtán) Sa mère exerce encore aujourd'hui en tant que psychologue : autant dire qu'elle a incité sa fille à parler du moindre de ses problèmes toute sa vie durant, mais ça n'a fait que la rendre plus réfractaire à toute confidence, pour mieux se cacher derrière ses plaisanteries. De toute façon, elle aurait bien du mal à mettre des mots sur son mal-être. (fimmtán) Ces histoires de clans, à Bristol, elle ne les prend pas vraiment au sérieux. Elle en rit même, tant ça lui paraît saugrenu. (sextán) Serveuse, ouvrière agricole, réceptionniste de nuit, surveillante dans des écoles, femme de ménage, commis de cuisine, poulet publicitaire, vendeuse dans toutes sortes de magasins... Elle en a fait, avec plus ou moins de succès. Son expérience la plus notable à Bristol, est dans un bar de la ville où elle est restée trois ans. (sautján) Surprise, elle est étonnamment ordonnée pour quelqu'un d'aussi chaotique. (átján) C'est vrai que la jeune femme est connue pour son tempérament festif, et la modération est rarement de la partie à ces occasions-là. Il se passe désormais rarement une soirée sans qu'elle ne boit, et en la matière, elle enchaîne facilement les verres d'alcool : de là à dire qu'elle boit trop ? La question se pose de plus en plus souvent – dans d'autres esprits que le sien néanmoins. 

— prénom/pseudo : Angie/blue. — fréquence de connexion : peut-être pas tous les jours, mais presque. — type de personnage : inventé. — comment as-tu découvert le forum ? via Elow et prd. — un dernier mot ? : j'ai fait le tour des pré-liens, y'a rien qui colle à ma Isla a priori, mais faites-moi signe autrement

bottin & listings

Code:

<y3>alicia vikander</y3> — isla fedóttir