EP 10 : THE GREAT REOPENING

Son nom et son visage ne sont peut être pas connus du grand public mais la notoriété d'Orville Reid dans certains milieux lui permet de pénétrer dans le casino sans se soucier de la file d'attente qui longe le bâtiment. Il connaît bien les frères Iachine, comme il connaît bien certaines de leurs anciennes conquêtes, et s'assure de leur présenter ses hommages avant de s'approcher de la roulette. Il doute qu'Alexander ou Peter puissent s'offusquer du contraire mais certains liens méritent d'être entretenus avec un soin particulier et négliger les deux hommes d'affaire pourrait presque passer pour une faute professionnelle aux yeux de plus exigeants qu'eux. Les félicitations sont de rigueur, vous avez transformé le vieux casino de Bristol en un palace. Le compliment est facile mais qui irait lui reprocher son manque d'originalité ? Les travaux ont été suffisamment longs et couteux pour qu'on attende de lui comme du reste du monde d'apprécier le résultat final et qu'importe s'il n'y remet pas les pieds une fois l'inauguration passée, du moins pas de sa propre intention. Ce soir Orville est là pour célébrer un accomplissement, celui de tout un clan, et applaudira en veillant à y mettre suffisamment de conviction. La Bratva ne l'aura pas plus à l’œil que d'autres mais mieux vaut être prudent avec eux, ce soir plus que jamais.
Il s'approche de la roulette et observe les paris en cours, curieux de voir quels joueurs se laisseront avoir les premiers. Leur tête tournera vite à la même allure que la bille, mais faisant davantage de dégâts, et Orville se glisse entre eux lorsque le départ de nouvelles mises est annoncé. Rouge. Il pose un jeton, l'équivalent de cent livres, et se demande si cet excès de prudence est bien raisonnable. Il pourrait se permettre de miser davantage, l'envisage même un certain temps, mais le croupier annonce le lancement de la bille et met à mal sa réflexion.


Est-ce que le rouge est gagnant ? : non

Le membre 'Orville Reid' a effectué l'action suivante : good fortunes

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'Oui ou non ?' :

Avec son invitation VIP, Sanya n'a pas dû attendre longtemps pour pénétrer dans ce casino flambant neuf. Il ne s'agit pas d'une activité qu'il pratique régulièrement, mais ça fait partie de ses attributions en tant que figure connue, de venir animer cette soirée. De distribuer des sourires, de flatter les égos afin de leur donner envie de revenir une prochaine fois. Comme toujours il joue le jeu, avec l'idée de ne pas s'attarder infiniment non plus, juste assez pour qu'on n'aille pas lui reprocher d'avoir disparu trop tôt. De justesse, il évite une connaissance beaucoup trop collante à chaque fois qu'il tombe le nez dessus, puis attrape un verre de champagne tout en se promenant dans la foule, observant qui pourrait être sa prochaine victime.

Soudainement il aperçoit une tête un peu plus connue  @Orville Reid , qui il le sait est loin d'être un de ses fans. Mais quand il le croise, il se comporte comme s'il ne s'en était jamais aperçu. Après tout, il est le père d'un de ceux avec qui il a conclu ce pacte mortel  @Galen Reid , et il s'est rendu plus d'une fois chez lui. L'ignorer ne ferait qu'empirer les choses. Il se fraye donc un passage vers l'homme, tout en bousculant quelqu'un au passage (vous si vous le souhaitez) et jette un œil curieux sur les résultats « Alors la fortune est-elle au rendez-vous ? » Pas que ni l'un ni l'autre n'en éprouve vraiment le besoin !

Il traîne sa carcasse entre les couloirs du casino, se glissant dans l'ombre des invités les plus prestigieux derrière une paire de lunettes de soleil qui dissimulent à peine les cernes sous ses yeux et qui lui donnent des airs de vampire de série B. Il a perdu sa paire aux verres en forme de coeur au cours de l'été et a été obligé de se contenter d'une paire de secours, empruntée à l'une ou l'autre de ses colocataires du moment, une paire aux verres d'un rouge très sanguinolent qui atténuent à peine la lumière artificielle des lieux mais lui donnent fière allure. Il pense au Dracula sorti dans les années 90, à la nouvelle incarnation de Morpheus dans le dernier Matrix, aux gamins qui se croient gothiques parce qu'ils s'habillent en noir et mettent un trait d'eye liner, et apprécie le reflet que les quelques miroirs lui renvoient. Tiens, il n'est donc pas un vampire pour de vrai.
Il hoche la tête en croisant un autre type, un Costigan comme lui, venu vendre un peu de magie à ceux à qui la chance ne sourit pas autour d'une table de jeu. Quitte à claquer son argent quelque part autant le claquer pour quelque chose qui fait de l'effet et, de ce qu'on lui a dit, le Sable Fin des irlandais tient toutes ses promesses. Sharley n'a pas encore l'occasion de tester la nouvelle drogue vendue par ses amis du clan, pas que l'envie lui manque mais le coût de la dose lui paraît trop élevé pour qu'il se la paie lui même et personne n'a encore fait preuve de suffisamment de générosité pour lui en offrir une. Il pourrait essayer auprès de @Moriarty Costigan mais quelque chose lui dit que son pote ne serait pas plus favorable à l'idée de le voir se transformer en potentiel junkie qu'il n'avait été emballé de le voir revenir dealer avec lui. Tant pis. Il y aura bien une opportunité à un moment donné, même si pour l'heure ce qui se trouve dans les poches de son manteau de cuir pourrait passer pour inoffensif ou presque.
Il s'approche d'une table de jeu, soulève ses lunettes le temps de voir la véritable couleur des participants, puis se laisse tomber sur un fauteuil qui a eu la bonne idée de se trouver à portée de fessier. Pssst, par là mon ami. Il fait signe au serveur de s'approcher à son tour et attrape deux flutes de champagne qu'il dédommage d'un jeton rouge dont il ignore tout de la valeur. Peut être que le serveur s'est fait mille livres de pourboire, peut être pas, allez savoir.

(libre)

C'est le noir qui sort et le croupier empoche son jeton comme celui des autres perdants comme s'il avait fait ça toute sa vie, ce qui doit probablement être le cas. Orville en pose un second, pariant de nouveau sur le rouge, prêt à confirmer ce que les données statistiques ne manqueront pas de rétablir : s'il y a une chance sur deux de perdre en pariant sur le rouge, il y a aussi une chance sur deux de gagner. Préoccupé par des calculs plus poussés, il ne se méfie pas lorsque la silhouette de @Sanya Yeats s'approche et le rejoint. Peut être le gamin est-il un petit génie des mathématiques et pourra lui dire quelles sont ses chances de gagner s'il s'entête à miser la même somme sur la même couleur encore et encore, mais il en doute. Les amis de son fils l'ont rarement impressionné par leurs prouesses intellectuelles et il doute que @Galen Reid aurait eu l'audace d'utiliser les siennes à bon escient s'il ne l'y avait pas poussé. Orville avait voulu lui offrir la chance qu'il n'avait pas eue dans sa jeunesse, finançant tout ce qu'il y avait de mieux à défaut de lui accorder grand chose d'autre. Pas encore. Il relève de lui même la désinvolture de Sanya, cette façon qu'a toujours eu le jeune homme de se comporter comme s'il était à sa place parmi les Reid et un égal à leur rang. Sa fortune le rend peut être supérieur, ça Orville est prêt à le lui accorder, mais c'est là une fortune de façade, une vanité qui pourra s'écrouler aussi vite qu'elle lui a été offerte. Un jour il lassera les gens de son minois vieillissant et de ses chansons sirupeuses, et il n'aura rien d'autre. Tu joues aussi ? La roulette ne représente guère d'enjeux mais la chose sera peut être plus amusante que face à des étrangers qui se lasseront sûrement moins vite que lui : il ne s'y est arrêté que pour passer le temps, en attendant de prendre congé des frères Iachine et de tous ceux qui scrutent la présente, ou l'absence, de chacun des membres du clan à qui ont a demandé de participer à l'événement. Lui n'est pas suffisamment connu du grand public, du moins pour ses affinités avec la Bratva, pour représenter un quelconque danger mais il est là pour l'image de marquer, montrer que le nouveau casino n'est pas le repère de mafieux qu'il pouvait être du temps de la Cosa Nostra mais un lieu honorable où même les hommes de médecine se rendent sans sourciller. Que sa présence soit destinée à ne pas être renouvelée n'est pas leur problème, l'essentiel est qu'Orville soit là pour l'ouverture et ait l'air d'y trouver son compte.

Quelques jetons en poche (plus), offerts par la maison, oui il a de la chance Sanya, mais c'est comme ça, ce sont toujours les privilégiés qu'on privilégie. Pourtant, s'il s'est approché de la roulette, c'est plus par curiosité et à cause de la présence d'Orville  @Orville Reid qu'autre chose. Le modèle n'est pas tenté par les jeux d'argent, mais par d'autres plus fins et dangereux.

Avant que le père de Galen ne veuille bien faire attention à lui, il a le temps de lancer un regard curieux autour de lui. Il aperçoit un individu dont les lunettes sont à elles seules un costume, (  @Sharley Quinn  ) ce qui amène un sourire amusé sur ses lèvres, qui se répercute dans son regard « Ce n'était pas prévue mais pourquoi pas ? » L'air de rien, il accepte l'invitation déguisée de l'homme, et tire quelques jetons de sa poche « Allez je laisse la chance au hasard ! » D'ailleurs ce n'est rien d'autre que ça comme jeu, on peut bien y réfléchir des heures, et à part être borné comme un âne, et demeuré sur le même spot, il n'existe pas de stratégie gagnante à part tricher. Et hop, il pose ses jetons sur le Huit rouge.  

Qu'il perde ou qu'il gagne, ça ne le tracasse pas plus que ça. Et il ne parierait pas sur le fait de remonter dans l'esprit d'Orville s'il recevait le pactole. Ça pourrait même être un motif de jalousie. Alors pendant que le destin se met en route, il récupère une coupe de champagne et salut la perte visible qui s'affiche pour lui avec un œil pétillant « Santé aux perdants, voilà une bonne raison d'apprécier deux fois plus le champagne ! » Puis Sanya se tourne vers celui qui l'a invité à participer « On remet ça ou on essaye autre chose ? »

Un de ses clients, assez important apparemment, puisqu'il s'occupe aussi de la réouverture du Casino, l'a invité à venir. En insistant bien sur le fait qu'il se sentirait vexé si le tatoueur ne pointait pas son nez par là. Faut le dire, ce n'est plus le genre de lieu où il se rend. D'ailleurs il a encore hésité au moins une heure avant de se préparer. Cependant il apprécie ce client, Inca aime échanger avec lui, et il se dit qu'il a promis à Antigone  @Antigone Spark  de faire des efforts. Du coup le voilà qui se pointe à attendre un temps infini avec des gens habillés comme pour se rendre à un bal masqué.

Tout ça pour se rendre compte que finalement il aurait pu entrer directement sans faire la queue, parce qu'il n'avait pas remarqué que son invitation était un peu spéciale. Bref le voilà à l'intérieur, et il s'interroge sur la manière de retrouver, dans toute cette foule, celui qui l'a supplié de venir. Et qui par la même occasion était bien mignon. Mais bon, non ce n'est absolument pas pour cette raison qu'il est venu. Il se faufile entre les allées, en se disant qu'il ne va quand même pas passer son temps à regarder chaque personne autour de toutes ses attractions.

D'ailleurs il fait en sorte de passer aussi inaperçu qu'une ombre. Pour finir par arriver au bar, parce forcément tout le monde y passe à un moment ou un autre, et qu'il finira bien par trouver celui qu'il cherche. Finalement, il ne sait plus trop s'il a vraiment envie d'être trouvé, et s'il ne ferait pas mieux de repartir dans la foulée. Comme le serveur lui demande ce qu'il veut boire, il se résout à rester le temps d'une dégustation « Un verre de lait si c'est possible sinon de l'eau » A peine a-t-il finit que quelqu'un  @Thomas Spark  le percute, l'arrosant généreusement de jus d'orange « Putain tout ce que je déteste et en plus ça va coller partout maintenant !!! »

Le fauteuil est confortable, bien plus qu'il ne l'aurait cru, et Sharley l'entend presque lui proposer de faire une petite sieste lové entre ses accoudoirs. La proposition est tentante mais impossible à accepter, pas avec ce qu'il a au fond de ses poches. Il a réussi à convaincre les Costigan de le laisser vendre leur nouvelle drogue, arguant qu'il trouverait quantité de clients parmi les gens qu'il croise en soirées ou après concerts, mais le tarif de chaque petite dose s'est vite révélé un frein à son plan de vente. Ce n'est pas catastrophique, pas encore, mais il lui faut se remonter les manches ce soir et mettre les bouchées doubles s'il veut atteindre ses objectifs, ou au moins ne pas passer pour un rigolo et perdre ce deal. Il tapote l'accoudoir avec bien des regrets et s'enfile la première flûte à la cosaque, se retenant à peine de lancer le verre par dessus son épaule une fois fini. A la place il s'étire pour la poser sur le plateau d'un serveur qui a eu la bonne idée de passer par là au même moment et qui libère au passage la vue sur quelqu'un qu'il n'a pas vu depuis bien longtemps mais pas oublié malgré tout. Une Robyn à paillettes, t'es superbe comme ça ! Le compliment est chaleureux et il se doute qu'elle le mérite. La soeur de Dev a tout d'une super héroïne pour lui, elle l'a toujours été et ça lui fait plaisir de la croiser sortie de nulle part, un si grand sourire aux lèvres et l'air d'aller bien. Pas que ça soit forcément le cas mais il l'espère. Bien, bien, et toi ? Mais viens, assieds-toi ! Il avance sa flûte pour trinquer contre son verre, prenant bien garde à ne pas lâcher son regard pour ne pas lâcher sur la famille Lahiri une autre malédiction catastrophique, puis tire le fauteuil à côté du sien pour l'approcher. Voilà, ça sera plus facile pour discuter. Comment tu vas ? Il ne réalise pas qu'il a déjà posé la question moins de quarante-sept secondes plus tôt, trop préoccupé par son déménagement avec flûte à la main pour suivre le fil d'une discussion normale, d'autant plus que ses propres pensées caracolent dans de moins heureuses destinations. Dev. La soeur de Dev. Dev qui est mort y'a quasiment un an. Le grand Dev. Dev le Magnifique. Putain. Je crois qu'il nous faut un refill. Il lève sa flûte désormais vide, guette un serveur qui passerait à proximité et relève ses lunettes pour y voir un peu plus clair. La brume qui entoure le casino persiste mais sans ce filtre rouge désagréable, laissant le soin à l'alcool et la fatigue de réaliser les autres effets.

@Robyn Lahiri

Il franchit les portes avec un carton d’invitation farouchement glané. Ce casino lui rappelle de malheureux souvenirs, et pourtant, le grand irlandais ne cille pas. S’il est ici, ce n’est pas pour se remémorer ses querelles avec le brave Visconti mais pour sonder ce qui s’y trame. Entouré d’Irlandais loin d'être recommandables et qui venaient tout droit de Dublin, ce n'est pas pour représenter les Costigan qu’il est ici. Cormac n’est plus, et il n’a pas encore décidé ce qu’il allait faire de sa mère. Elle était dépassée. Il avait eu raison sur toute la ligne. L’affront infligé à son retour n’était rien face aux derniers événements. Elle avait laissé le clan se casser la gueule. Heureusement pour lui, il avait su s’en prémunir. La famille s’était bien amoindrie. Sans Cormac pour tirer les ficelles de la prison, Cillian s’était mis en tête de reprendre le monopole du crime sur la ville. Et il n’allait pas faire dans la dentelle. Fini les états d’âmes. Plus de place pour les émotions. A l’annonce de la mort de son paternel, outre la colère, c’était le rire qui avait émané de lui. A croire que les Costigan mourraient plus facilement en prison qu’à l’extérieur. Il ne croyait en rien à une rixe, encore moins à une trahison d’un membre de son clan. Ca venait de plus haut, et quelque chose lui disait que sa mère y était pour quelque chose. Elle serait donc forcément là, à moins qu’elle n’ait dépêché Murphy. Qu’importe, il abattrait ses propres cartes. La Bratva qui dépensait des millions, ça ne voulait dire qu’une chose : il y avait de quoi s’inquiéter. Il indique à ses sbires de se placer à des endroits stratégiques et d’observer, tandis qu’il remarque une personne qui détonne dans ce paysage. @Thomas Spark. Intrigué, Cillian s’amène vers lui, alors qu’il semblerait qu’il ait renversé un verre de jus sur les vêtements d’un autre. « Tu as l’art de te mettre dans de sales draps, Thomas. » Il se tourne vers l’autre (@Inca Kerouac) pour l’inciter à aller voir ailleurs. « Tu n’as qu’à aller hurler sur un employé, ils ont un pressing. » Du moins du temps de la Cosa, le client était roi. Se désintéressant de l’homme, il attire Thomas un peu à l’écart. « Qu’est-ce que tu fous ici ? » Et s’il devait désormais se méfier de son ombre ?

Il ne compte pas passer toute la soirée au casino mais peut bien y perdre un peu de son temps, l'effort sera compté et généreusement récompensé. Il serait faux de dire qu'il ne fait pas ça pour l'argent, personne ne rallie la Bratva pour de nobles ambitions, et les sacrifices des hommes comme lui sont toujours appréciés à leur juste valeur. Il prend sur son temps libre pour intervenir auprès des jeunes femmes exploitées par le clan, jeunes filles pour certaines d'entre elles, et il serait un comble de faire comme s'il s'agissait là de quelque chose de normal. On ne renie pas sur son temps de pause, surtout pour ce genre de choses, sans que le gain ne soit à la hauteur.
Le voilà donc à jouer, et à perdre, un argent qu'il estime avoir été durement gagné même si d'autres pourraient avoir à redire sur la question. Ce n'est pas lui qu'on allonge et qu'on abuse, ce n'est pas lui qui vit sans le moindre espoir d'un avenir meilleur, mais c'est lui qui pose les jetons sur la table sans se soucier que ce soit le rouge ou le noir qui sorte à la fin de la manche. Bien. La réponse aurait été similaire pour une répondre autre, et Sanya doit s'en douter. L'invitation est pour la forme plus que par envie de passer un peu de temps en compagnie du jeune homme. Un ami de Galen. Une potentielle menace. Ou peut être pas. Allez savoir.
Le noir sort de nouveau et les allège de quelques jetons supplémentaires, ce qu'ils ne semblent pas être d'humeur à pleurer ni l'un ni l'autre. D'autres joueurs, plus émotifs, abandonnent déjà la partie mais ça n'a pas l'air d'être de leur genre, eux qui préfèrent célébrer, une flûte de champagne à la main, leur déconvenue. Je vais probablement me contenter de la roulette avant de disparaître, l'ambiance générale risque de vite se dégrader. Il a bien noté la longueur de la file d'attente à l'extérieur du bâtiment au moment d'y entrer, et ce doute que ces gens finiront bien par être introduits dans le casino à un moment où un autre. Les personnalités les plus importantes ont droit à quelques avantages mais ne pourront pas éviter la masse indéfiniment, du moins ceux qui n'auront pas le coeur à demander une salle vip pour leurs prochains jeux. Libre à toi de me suivre ou non. La réponse n'a que peu d'intérêt même si l'opportunité de passer un peu de temps avec Sanya ne se reproduira peut être pas avant longtemps. Ce serait plutôt le travail de Ryder de l'interroger mais encore faudrait-il que ce dernier arrive à l'approcher...

@Sanya Yeats @Ryder Lynch