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episode 3 : bristol summer festival

killing the mockingbird :: behind the game :: sujets communsAller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4  Suivant
Harriet Lindberg
Harriet Lindberg
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Mer 16 Sep - 16:10


L'édition 2020 du festival devient soudain plus intéressante pour Harriet maintenant qu'elle a enfin fait la connaissance du fameux love interest de Moriarty et pourra parler en connaissance de cause. Durant les quelques quarante-deux secondes ou presque qu'a duré leur entrevue, elle a eu tout le loisir de l'observer, comparer son allure à la sienne, sa chevelure terne à la sienne tout juste passée entre les mains de son coiffeur préféré, et autre petits détails sans grande importance qu'elle prend un malin plaisir à monter en épingle. Parce qu'elle était jalouse de cette fille qu'elle ne connaissait pas et qui monopolisait l'attention de Moriarty, et l'est un peu moins maintenant qu'elle réalise que ce n'est qu'une banale gamine, qui plus est déjà amourachée d'un autre si elle peut en croire ce qu'elle a vu. Pourtant, elle entre dans le jeu de son ami et lui offre ce qu'elle s'imagine être l'opportunité de sa vie : un petit coup de pouce du destin signé Harriet Lindberg, avec les compliments de la maison. Le gamin elle attire à l'écart ne semble pas très content de la tournure des événements, proteste mollement, et l'engueule presque lorsqu'elle en vient aux faits. Enfin elle te fait quand même bander à ce que je vois. Elle lui offre un sourire victorieux, rajuste les lunettes bleus qu'il vient de déséquilibrer, et n'a pas le temps de plus qu'un cri retentit au loin. Comme tout le monde, elle se tourne pour essayer de comprendre ce qui se passe, laisse le gamin s'y rendre comme un vaillant petit soldat alors qu'elle voit déjà des gens affluer dans son sens. Elle se pousse avant de se faire bousculer davantage, se retrouve accostée par Gus à qui elle offre un sourire en constatant qu'il n'a que Liv à la bouche et en vient même à oublier toute politesse. Tu vois bien que non. Elle voulait rester à boire et moi, la bière... Mais hey ! Elle lui hurle dessus alors qu'il disparaît de nouveau, sans prendre la peine de l'écouter finir sa phrase, et Harriet se promet d'en toucher deux mots à son amie lorsqu'elle la reverra : qu'il soit mignon ne l'autorise pas à se montrer aussi grossier à chaque fois qu'il la croise ! Sa curiosité est cependant piquée à voir tous ces gens courir dans tous les sens, à hurler comme si un drame était en train de se produire, et elle hésite entre aller plus en avant pour être aux premières loges ou jouer la prudence et rester là où elle est. Elle pense une nouvelle fois à son téléphone, mort dans son sac, et se maudit de ne pas avoir été plus prévoyante. Yaya, lui, aura probablement de quoi tout filmer et faire l'ouverture des JT nationaux voire internationaux, et elle sent gonfler en elle une nouvelle bouffée de jalousie. Contre Yaya qui est toujours là où il faut. Contre cette Azel, puisqu'elle connaît désormais son nom, qui lui pique Moriarty. Contre Olivia, tellement parfaite que rien d'autre ne compte pour Gus. Contre ces gens qui l'ignorent et elle se met à hurler de rage au beau milieu de la foule, faisant sursauter les personnes autour d'elle qui s'imaginent qu'un drame supplémentaire vient de se produire.
C'est alors qu'elle sent quelqu'un buter contre elle, le gamin de tout à l'heure, tout blanc et tout tremblotant, qui lui déballe les premières informations sur ce qui s'est passé avec un air paniqué qui lui hôte toute envie de se moquer de lui. Y'a eu un meurtre ? Un vrai meurtre ? Ses yeux brillent d'excitation à l'idée de tout ce qui va suivre. Le pays entier va sûrement parler de Bristol pendant les jours à venir, il y aura des caméras, des journalistes, des gens célèbres, des tweets en pagaille, et elle, Harriet, elle sera là. Prête à se laisser interviewer pour raconter ce qu'elle a vu ou aurait pu voir, et offrir un visage à cette génération touchée de plein fouet alors qu'elle s'amusait innocemment. Concentre toi : elle est comment cette fille ? Elle ressemble à quoi ? Tu la connaît ? Il était où le sang ? Elle l'attrape par les épaules et le secoue pour l'obliger à la regarder et à se concentrer.

@maddox blossom, @azel brixton, @yaya dembele, @moriarty costigan, @aengus brannigan

En résumé:
Lulla Wright
Lulla Wright
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Mer 16 Sep - 17:07


Elle est là pour le principe, pour passer un peu de temps avec ses filles et profiter d'une journée de calme après l'hystérie des dernières semaines au Bristol Post. Elle s'est bien évidemment régalée à suivre chaque rebondissement autour du clan Adami et de la fermeture du casino, à écrire chaque jour un résumé des dernières informations sur l'affaire et à essayer de garder le rythme entre ses différents aspects, mais a désormais besoin de souffler. Le festival n'est pas nécessairement le meilleur endroit pour ça, surtout lorsqu'on sait à quel point Lulla chérit le calme et la solitude de son petit appartement, mais ça lui fait du bien d'être là. Ca l'épuise tout autant que ça l'aide à reprendre des forces et, à choisir, elle préfère jouer les chaperons pour la blondinette ayant un peu trop bu que de se trouver au coeur de l'action. Elle se sent utile, elle sait ce qu'elle fait, et lui attrape le bras pour mieux la guider alors que la bière goutte le long de ses pointes et trace un chemin dans son sillage. Il lui est évident qu'elle a trop bu et qu'un verre de plus serait de trop, et à la place la conduit jusqu'à un un endroit plus adapté à ses besoins. Elle voit bien son regard déçu qui s'enflamme à la vue de tant de nourriture, et Lulla lui sourit. J'ai deux grandes filles qui doivent à peu près avoir ton âge. Stella et Amalia. Elle les imagine de la même génération, peut être dans la même école à un moment donné, dans un même club de danse ou autre, l'a peut être même déjà eue à la maison pour un anniversaire ou une soirée mais le temps passe vite et efface ce genre de souvenirs. En version végane pour moi s'il vous plait, avec beaucoup de moutarde.
Elles attendent toutes deux que leur commande soit préparée, regardant avec passion les gestes appliqués de l'homme en charge de leur repas, lorsqu'un cri retentit au loin et annonce que quelque chose s'est passé, quelque chose de sérieux. Tu peux récupérer mon hot dog le temps que j'aille voir ce qui se passe ? Je reviens vite. Elle pose une main presque solennelle sur le bras de la jeune fille qu'elle délaisse à contre-coeur mais, puisqu'elle est sur place, Lulla a besoin de savoir ce qui se passe. Elle fend la foule alors que toute trace de fatigue semble avoir quitté son corps, ne court pas comme ce jeune homme qu'elle voit filer à quelques mètres d'elle comme si sa vie en dépendait pas tout, en elle, fait résonner des signaux d'alerte. Quelque chose ne va pas, des bruits qu'elle arrive à arracher aux gens qu'elle croise à contresens, qui parlent d'un corps, de sang, d'un meurtre, de la Casa Nostra qui se venge de l'enquête dont elle fait les frais ou des Costigan qui règlent leurs comptes, d'accident et de mille autres choses.
Sur place, elle voit d'abord la silhouette à terre, ce visage de trois-quart qu'il lui semble reconnaître sans que le nom, maculé de sang, ne lui apparaissent. Elle voit ce filet rouge dans lequel tant de gens ont déjà marché, laissant trop d'empreintes pour que la police puisse faire efficacement son travail. Elle imagine déjà Frank s'en plaindre et découvre alors la petite silhouette d'une jeune fille qui regarde avec horreur la scène. Lulla s'approche d'elle, lui recouvre les yeux de la main et l'oblige à se détourner. Personne n'a besoin de voir pareil spectacle, encore moins les âmes innocentes. Peu à peu les gens s'écartent, comme si la rumeur avait fait son oeuvre et annoncé qu'il valait mieux ne pas approcher le périmètre, mais c'est alors que la blondinette fait son apparition, un unique hot dog à la main. Lulla tire la première gamine par la main et attrape le bras de la seconde pour les écarter au plus vite et les faire s'asseoir le long d'une barrière de sécurité. Vous, vous restez là, d'accord ? Elle use de ce semblant d'autorité maternelle qu'elle trouve parfois en elle et, d'un mouvement d'index très professionnel, les pointe l'une après l'autre en leur demandant de lui obéir. Et toi... Elle s'agenouille devant Olivia et lui passe derrière l'oreille une mèche de cheveux dégoulinant de ketchup. Toi, tu as oublié de récupérer mon hot dog. Alors tu vas me faire le plaisir de rester là avant qu'on aille le chercher ensemble. Elle adresse vite fait un regard à l'autre jeune fille avant de se relever, l'air de lui demander de prendre soin de sa comparse, puise se relève pour retourner près de la victime, alors que plusieurs agents de sécurité et autres policiers commencent à s'y attrouper eux aussi.

@olivia bloom @azel brixton
Olivia Bloom
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Mer 16 Sep - 18:13


Tout va trop vite. Olivia se tient devant le comptoir du petit stand – les yeux brillants posés sur les deux hot-dogs qui cuisent lentement. Sa sauveuse tout près. Elle sent l'instinct maternel, ça émane de sa silhouette, et ça lui réchauffe le cœur. Olivia se sent en sécurité, ici. Peu importe l'ivresse et peu importe sa chute et peu importe qu'on l'ait laissée seule parmi la foule. Tout va bien. Elle détourne le regard de son précieux hot-dog, sa tête tourne alors qu'elle pose ses yeux sur Lulla. - J'en étais sûre, ça se voit. Son ton est sérieux, appliqué. Et puis elle sourit, elle sourit et dans l'instant suivant, elle se trouve au-dessus d'un corps – et tout va trop vite. La jeune femme est pâle, si pâle que le sang en devient trop vif. Et Liv, elle ne peut pas quitter des yeux la silhouette étendue là, tout près. Elle est immobile, sa gorge est prise, ses cheveux emmêlés, et bon sang, elle donnerait tout pour détourner le regard. Mais elle en est incapable, et tout fait mal, alors qu'elle reste là, à serrer son verre vide d'une main, son hot-dog d'une autre. Ses yeux s'embrument, elle a l'impression de flotter. Alors lorsque Lulla lui attrape le bras avec douceur, et la traîne un peu plus loin, elle se laisse faire. Sous ses paupières, l'image est fixe. Mêlée aux souvenirs douloureux de la mort de son frère. Mais ce n'est pas Jonas qui se trouve là, au centre d'une foule agitée. Les murmures deviennent cris, les silhouettes s'agitent, certains courent, d'autres poussent. La curiosité exacerbée. C'est malsain. Olivia se laisse tomber contre la barrière, ses lèvres mordues, ses yeux voilés. Elle les relève lorsque la voix de Lulla s'élève devant elle ; elle use toute son énergie à se concentrer sur ses mots, mais tout se mélange, alors elle hoche doucement la tête. La douceur de ses gestes la rassure. Liv fronce les sourcils, relève le hot-dog écrasé dans sa main. - Non, c'est le tien. Le sien est sûrement entrain de brûler sur le barbecue – elle l'a oublié lorsqu'elle a vu la foule se regrouper. Il lui faut une minute ou deux après le départ de Lulla pour remarquer la jeune fille près d'elle. Elle passe une main sur son front, l'observe en se grattant la joue. Elle mord dans le hot-dog, mâche lentement et le lui tend – ou ce qu'il en reste. - T'en veux ? Sa main tremble au-dessus de l'herbe. Ses jambes sont lourdes, étendues devant elle. - Il est vegan. Je crois. Je sais plus. Elle hausse les épaules. - Froid. Il est froid. Il est aussi en bouillie, mais le préciser est inutile. - Olivia. Elle lâche finalement son gobelet pour tendre une main collante à la jeune fille qui semble tout aussi perdue qu'elle. - J'ai trop bu. T'as pas vu un gars grand avec les cheveux blonds ? Il s'appelle Gus. Il était au foodtruck là-bas. Ses yeux suivent le mouvement de son bras – mais au bout, seulement une étendue de verdure. Elle fronce les sourcils. - Ou pas. Quelque part par là. Ses doigts s'agitent pour faire un tour rapide du festival. Le périmètre est large. Liv inspire, serre les paupières. Sa tête la lance, et elle sent la nausée remonter jusqu'à sa gorge. C'est un mélange de tout. De peur, d'alcool, de choc. Elle a juste le temps de se lever et faire trois pas avant de vomir contre la barrière. Ça lui brûle la langue et elle retient ses cheveux juste à temps. Ou peut-être pas. - Merde. Et aussitôt, elle regrette les bières, elle regrette d'être là, elle regrette chaque décision qui l'a amenée jusqu'ici. Lorsqu'elle revient vers Azel, elle reste debout à la regarder. Elle se sent déjà un peu mieux. - J'ai vomi. On devrait se décaler. Elle essuie sa main sur sa robe et la lui tend, avant de la retirer dans une grimace. Non, mauvaise idée.

@lulla wright @azel brixton
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Jeu 17 Sep - 22:50


tu passais un bon moment. c'est vrai, t'étais bien, au coeur du concert, trop heureuse de pouvoir profiter de ces festivités qui te manquent à la minute où elles s'arrêtent. et pourtant, tout bascule en seulement quelques secondes. un cri sort de ta bouche sans que tu puisses ne serait-ce qu'essayer de le contrôler. tu sais. tu sais que ce n'est pas qu'un simple malaise. tu sais que cette fille, là, elle est morte. tu le sens, tu le sais. comment rester insensible face à ça ? tu te recules, jusqu'à buter contre un homme (@Moriarty Costigan) qui s'empresse d'aller essayer de la réveiller. jusqu'à ce qu'il y ai le sang. ça se propage très vite, un filet de sang, puis beaucoup plus. ton regard se vide alors que tu vois bien que le mec réalise qu'elle est morte. tes yeux s'emplissent de larmes, les choses se précipitent et tu restes plantée là, le regard attaché à ce visage sans vie. on te dit de ne pas bouger. tu en es bien incapable, trop atterrée pour pouvoir penser à retourner faire la fête. la musique s'est arrêtée et c'est comme si tu étais plongée dans un monde silencieux au possible. tes oreilles bourdonnent, et pourtant, tout est vide. tes jambes finissent pas céder, c'est la première fois que tu te retrouves face à la mort. tu te retrouves à genoux, près du cadavre d'une fille que tu ne connais pas, prostrée. tu laisses tes fesses rencontrer le sol, et reste-là, assise. tu remontes doucement tes genoux contre ta poitrine, le regard fixe. ça s'agite autour de toi, mais tu ne vois rien, tu ne veux pas voir. partenaire du dernier souffle, tu ne laisses pas la morte seule. t'es un peu morte aussi, là, avec elle.
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Dim 20 Sep - 20:12


@Harriet Lindberg @Maddox Blossom
"Oui c’est par là ! Par là-bas, dans la foule mon ami l'a trouvée et..." Tu n’es pas à bout de souffle, loin de là, tu n’as couru que quelques foulées, juste quelques petits mètres et pourtant, c’est le chaos ambulant depuis que tu as quitté l’épicentre du problème. Tu es un peu comme le porteur de mauvaise nouvelle, c’est ta voix qui porte, justement, et qui emmène la nouvelle et la réalisation et l’horreur s’empare de la foule. Par où ? Montrez-nous la direction, on te parle tu donnes des indications du mieux que tu peux et tu observes les professionnels converger vers l’endroit du problème, vers Momo. Ton cœur bat la chamade dans ta poitrine mais pas à cause du sprint soudain, mais bien à cause de la panique et un semblant de peur. Oui, Bristol n’est pas une vie recommandable, oui, le taux de criminalité y est élevé, cela t’a toujours bien fait rire dans un sens et cela n’a jamais dérangé ton quotidien. Du moment que tu ne poses pas trop de question, traînes là où il faut et que tu continues d’avancer… tout se passe bien. Sauf que tu restes sur place pendant de longues minutes, de longues minutes sans ton sourire sur le visage, à imaginer la vie de cette fille qui était juste venue là pour s’amuser et passer du bon temps avec ses amis et boire un coup et… vivre. On te bouscule, on te ramène à la réalité, la nouvelle a vite voyagé, on essaye de fuir et tu pousses un soupir, partant dans la direction opposée du mouvement de foule, à la recherche de visage familier, et surtout de Moriarty. Tu l’as perdu de vue, tu étais bien obligé après tout et tu respires enfin, normalement, quand tu aperçois enfin Harriet, flanquée du gamin que tu as aperçu il y a quelques minutes. "Harriet ! Tu vas bien ? Tout le monde va bien ?" Le gamin a l’air pâle et tu ne peux pas t’empêcher d’ouvrir ta sacoche et de lui tendre ta bouteille d’eau, c’était prévu pour une urgence et … on est bien arrivé dans l’urgence. Tu songes quelques secondes à ta tante, te demandant si l’incident a déjà été reporté et si elle va chercher à t’appeler, probablement. Tu poses une main sur l’épaule d’Harriet, pour qu’elle laisse ce pauvre mec reprendre son souffle et pour lui dire ce que tu sais. "Il y a un corps, je crois qu’une file est morte, Momo était avec elle et je… putain c’est le foutoir, les secours vont aller voir mais je crois que c’est déjà trop tard." Sinon comment expliquer l’expression sur le visage de Moriarty pas vrai ? Tu fronces les sourcils et ta prise se fait plus insistante, tu es déjà prêt à courir dans l’autre direction et à trouver Moriarty et déguerpir d’ici. Non, tu n’as pas vraiment envie de t’attarder, pour faire quoi ? Vous n’êtes pas médecins et les questions à Bristol ? Ce n’est jamais une bonne idée. "Je vais chercher Momo… tu viens ? Enfin vous venez ? On ne te laisse pas tout seul ici…" Tu lances un regard insistant à ce parfait inconnu, ce compagnon d’infortune en quelque sorte et tu fais signe à tout le monde de te suivre. Visiblement, Captain Queer reprend du service.

En bref:

Henry St-James
you can't cage the beast.
Henry St-James
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Mar 22 Sep - 16:05




— The sun machine is coming down and we're gonna have party
AOUT 2020 / SUJET COMMUN

Il essaye d’être gentil, parce que les mecs gentils sont souvent ceux que personne ne soupçonne. Que personne ne regarde vraiment. Automatiquement accepté, comme un parfum doux et réconfortant. Et même si Henry se sent un peu stupide et qu’il essaye de bien faire, il ne veut surtout pas rater son job et dévier de sa route. La fille n’est pas loin, l’excuse est inévitable. Cependant, le garçon n’est pas très à l’aise face à l’idée et puis surtout, il a déjà de quoi faire, pas utile donc. Henry lance quand même un coup d’œil pour ne pas perdre sa cible et rit de bon cœur quand la réponse est positive : et oui, il l’a reconnu. Une mémoire qui ne lui fait jamais défaut quand nécessaire.

« J’te suis ! » Tout simplement. Il manquerait plus qu’il rougisse, pour faire croire qu’il y a un peu d’alcool dans les veines. Que ça le pousse à se montrer simple avec les autres. Simple et gentil. C’est fou comme les choses peuvent parfois bien s’agencer. C’est un peu trop facile, mais soit. Henry ne refuse pas ce qu’on lui offre sur un plateau d’argent. Et la fille, à côté, balance des informations. Un nom et des trucs à la con aussi. En attendant sa bière, il en profite pour sortir son téléphone pour vérifier s'il peut retrouver l'identité du gamin. Et hop, trouvé, merci twitter.

Il lève les yeux quand la musique s’arrête. C’est comme si tout d’un coup, le monde avait cessé de tourner. Alors on oublie la bière pour se focaliser sur la foule, entendre un cri perçant et comprendre qu’il y a anguille sous roche. Aussitôt, il se redresse. La fille qu’il cherche est toujours là, ce n’est donc pas la victime. Comme il est à peu près certain qu’elle crèche chez celui dont il vient de découvrir l'identité, il se met à courir derrière le vendeur de grilled cheese. Rapidement, la sécurité arrive, les gens se regroupent autour de la victime et à une autre époque, dans un autre pays, il aurait pu sortir une carte magique et aller au coeur du problème.

Mais il ne peut pas, alors il se contente de se rapprocher le plus possible pour avoir un aperçu de la fille présumé morte. « Et merde… » dit-il, aussitôt qu’il comprend ce qui se passe. Qu'il comprend qui est mort.

Spoiler:


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Dim 27 Sep - 4:34


Les joues rouges à la suite du commentaire de la blonde à propos de cette érection qu'il croyait subtile, mais qu'il peine visiblement à dissimuler, Maddox ne répond rien et se contente de réagir à ce cri qui vient lui glacer le sang. Il n'y aucun doute possible : la vue du corps allongé et sans vie ramène le sang exactement où il se doit d'être et le gamin se sent vaciller alors qu'il recule et qu'il se met à parler très vite. « Je sais pas. Je sais pas ok ? Elle a l'air morte. Arrête ça, je vais être malade. » prévient-il alors qu'une nausée le happe violemment lorsqu'elle se met à le secouer. Maddox parvient néanmoins à ne pas recracher le contenu de son estomac et l'arrivée d'un garçon dévie un peu l'attention de la blonde alors qu'elle le relâche enfin et qu'il peut se permettre de prendre de longues respirations. Le garçon qu'il ne connaît pas lui offre une bouteille d'eau et si Maddox hésite quelques secondes, il tend finalement la main pour l'attraper et en verser un peu dans sa bouche. L'eau n'est pas froide, mais lui fait tout de même du bien et lorsque le brun relève les yeux, c'est pour tenter d'apercevoir Azel au milieu de la foule qui se bouscule. Elle n'est nulle part en vue et il hoche simplement la tête lorsqu'on lui propose de suivre avant de prendre une nouvelle gorgée. Le haut-le-coeur semble désormais disparu, mais Maddox n'est pas suffisamment naïf au point de croire qu'il ne peut pas revenir subitement s'il se trouve une nouvelle fois dans l'entourage de cette fille qui s'est effondrée sur le sol et de tout ce sang qui l'accompagne.

Et puis, le prénom qui vient de sortir de la bouche de l'autre lui revient en mémoire et Maddox grimace légèrement, persuadé que ce n'est pas forcément une bonne idée qu'il se trouve dans le même rayon que le dénommé Moriarty. Costigan, right ? Et puis, il se dit qu'Azel sera peut-être avec lui et que ça vaut la peine d'essayer de la retrouver.

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Lulla Wright
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Dim 27 Sep - 15:57


Tout se précipite autour d'elle et Lulla se focalise sur ce qui lui semble le plus important en pareil instant : s'occuper de celleux qui ont assisté à la scène, au meurtre vraisemblablement, et leur offrir tout le soutien qu'elle peut. Ce n'est qu'une goutte d'eau, une tentative presque désespérer pour compenser le chaos ambiant, mais elle ne peut pas laisser ces gamines y assister comme si de rien n'était. S'il s'était agi de ses filles à leur place, elle n'aurait pas fait autrement. Elle les aurait écartées du cœur de l'action, leur aurait demandé de l'attendre dans un endroit où elles seraient en sécurité, et seule l'obéissance dont font preuve les deux blondinettes tranche avec la réaction qu'elle aurait pu attendre de la part de ses filles. Elle avait accueilli avec un sourire l'affirmation de la première, comme quoi ça se voyait qu'elle était mère, curieuse de savoir ce qu'elle voulait dire par là, et se sent désormais un peu responsable du sort de la jeune fille. Alors tu n'as pas failli à ta mission. Mais mange-le si tu veux. Ça te fera du bien. Elle, elle n'a plus faim. Elle observe les visages autour du corps qu'elle rejoint en quelques pas, essaie de retenir toutes les allées et venues au cas où une information capitale viendrait à entrer dans son champ de vision et pourrait être utile pour l'enquête. C'est alors qu'elle remarque celle à qui elle n'avait pas encore prêté attention, et s'accroupit à côté de @Chloe Walsh. Ne reste pas là, viens... Elle passe un bras autour des épaules de la jeune fille et l'aide à se relever, prête à l'amener elle aussi à l'écart pour rejoindre le club des jolies blondes terrorisées, parfait cliché qui ferait une image réussie pour l'ouverture du JT. Toutes deux avancent avec peine lorsqu'elle reconnaît @Henry St-James à qui elle offre un léger signe de tête, puis s'arrête en l'entendant jurer dans son dos. Lulla se tourne alors vers lui, Chloe toujours collée à elle. Tu l'as reconnue... C'est une affirmation soufflée au vent, alors que le nom de la victime lui vient brusquement. Livide, elle offre un dernier regard au corps à terre, et reprend sa marche pour éloigner Chloe au plus vite, avant que tout cela ne dégénère.

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Harriet Lindberg
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Dim 27 Sep - 18:00


Harriet le secoue en espérant retirer le plus d'informations possible, puis s'arrête brusquement lorsqu'il la menace d'être malade si elle continue ce petit jeu. Par précaution, elle se recule d'un pas et lui offre une petite moue dédaigneuse. Elle a l'air morte ? Tu peux pas être plus précis ? Parce que des gens ayant l'air morts parce qu'ils ne savent pas se maquiller et se mettent un fond de teint absolument pas adaptés à leur carnation, elle en connaît des dizaines, et même des gens très bien. Elle s'agace de cette réponse si évasive du jeune garçon qui, au moins, a eu la décence de perdre son érection à la vue de ce supposé cadavre, et attend qu'il reprenne son souffle lorsque Yaya arrive. Mais oui ! Il parait qu'il y a eu un meurtre, t'es au courant de quelque chose ?? Voilà la curiosité qui reprend le dessus mais il lui faut se contenir alors que son ami farfouille dans son sac pour en sortir une bouteille d'eau avant de lui poser une main sur l'épaule pour être sûr d'avoir toute son attention. Elle écoute les premiers mots avec des palpitations, et puis son coeur s'arrête à l'évocation de Moriarty. Un peu par jalousie parce qu'il a trouvé le moyen d'être aux premières loges et pas elle. Un peu par inquiétude parce que le savoir si près du lieu d'un crime ne lui dit rien qui vaille. Un peu par surprise aussi, parce que ce genre de chose n'arrive finalement pas tous les jours. Et toi tu as tout vu... C'est la jalousie qui parle, qui se faufile entre ses lèvres et donne l'impression qu'elle se soucie de lui alors qu'elle se reproche surtout d'avoir fait la bêtise de s'éloigner des garçons alors qu'eux se sont retrouvés aux premières loges. Elle n'a aucune idée de ce que ça fait que de se retrouver confrontée à la mort, à un cadavre et à tout le reste, et leur envie cette expérience dont elle n'imagine pas les répercutions. Elle, tout ce qu'elle voit, c'est qu'ils vont être au coeur de toutes les attentions, et elle n'aime pas savoir que cette attention ne lui sera pas portée. Elle affiche donc une petite boue bien embêtée et se jette sur l'idée de Yaya comme si sa vie en dépendait. Evidemment que je viens, je ne vais pas abandonner Moriarty ! Elle se redresse pour l'affirmer et attrape la main du gamin pour être sûre qu'il ne va pas bêtement rester planté là à attendre que ça se passe. Ton nom c'est quoi ? Moi c'est Harriet, lui Yaya, et fais pas cette tête. Ok on t'embarque pour une mission de sauvetage de ton rival mais on te trouvera une autre nana pour oublier la première quand cette histoire sera finie, promis. Elle lui offre un clin d'oeil et s'élance à la poursuite de Yaya.

@Yaya Dembele @Maddox Blossom

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Frank Emmerson
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Frank Emmerson
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Lun 28 Sep - 8:55



The Sun Machine is coming down,
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sujet commun : bristol summer festival

Évidemment, rien ne se passe comme prévu. Pourtant, Bristol est habituée aux événements culturels. C’est une ville qui bouge, qui avance sans se laisser perturber. Malgré les crimes et les accidents, Bristol garde la tête haute, s’organise, et parfois ferme les yeux pour mieux avancer. Rien ne doit bousculer le quotidien de cette folle jeunesse, mais ce soir tout a basculé et Frank le sait. Ce soir, personne ne peut prétendre que cette ville n’est pas pourrie de l’intérieur. Que tout est beau, tout est simple. Oh non ! Cet assassinat dans un lieu public, c’est un message. Un message pour lui.

Avec son équipe, ils arrivent très vite. La sécurité du Festival a fait les choses bien et peu de personne ont réussi à sortir du périmètre du concert. C’est un peu grâce à @Yaya Dembele qui s’est précipité vers eux dès qu’il a compris qu’une fille était à terre. Frank n’a donc aucun mal à faire face au corps de la victime, entouré par plusieurs spectateurs à la fois curieux et choqués. « Laissez-moi passer, » qu’il ordonne, tout en apercevant @Chloe Walsh assise à terre, traumatisée. La réaction d’@Henry St-James ne passe pas inaperçue et le flic reconnaît le détective qui traîne parfois un peu trop dans les locaux de la police.

Pas étonnant qu’il reconnaisse la victime,
C’est Maria Vianni. (cf, episode 1)

« Il faut qu’on interroge un maximum de monde. » Il se tourne vers l'un de ses collèges qui s’exclame aussitôt : « S’il vous plait ! Merci de coopérer et de former des groupes. Vous, restez-là ! »  Les policiers se déploient, prêts à bombarder de questions les témoins dans leur quête de réponses. Il y a un protocole à suivre dans ce genre de situation, mais il y a tant de monde que ça peut être très compliqué. Une équipe médicale ne tarde pas à faire son apparition et se charge de gérer le corps de la policière alors que Frank se penche sur Chloe, que @Lulla Wright a laissée pour prévenir un autre agent de l'état de @Azel Brixton et @Olivia Bloom. « Est-ce que ça va, mademoiselle ? »

Un périmètre autour du concert a été établi, et plus personne ne peut sortir sans autorisation. La police est arrivée en nombre conséquent pour interroger un maximum de festivaliers et vérifier qu'il n'y a plus de menace. Frank Emmerson est prêt à faire face à vos personnages afin de comprendre ce qui s'est produit.

En attendant votre tour, vos personnages se questionnent et réalisent l'ampleur du problème. Certains parlent de trahison et de vengeance...

Pour toutes questions ou suggestions, n'hésitez pas à harceler le staff episode 3 : bristol summer festival - Page 3 932200819
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Lun 28 Sep - 19:57


tu sais pas exactement combien de temps s'écoule entre le moment où tu t'écroules et où une femme plus âgée que toi ne s'accroupisse à tes côtés pour t'aider à te relever et t'éloigner de la scène. elle a raison, tu ne devrais pas rester là. t'as la chair de poule, comme si soudain, la température était descendue drastiquement. t'as pas la force de répondre quoi que ce soit, elle s'arrête pour parler à quelqu'un et tu frissonnes dans ses bras. un homme (@Frank Emmerson) se penche ensuite vers toi alors que @Lulla Wright te lâche pour aller s'occuper de quelqu'un d'autre. est-ce que ça va ? c'est une question sérieuse ? dans d'autres circonstances, tu lui aurais ri au nez. évidemment, que ça ne va pas. comment ça pourrait aller ? non., tu arrives à articuler en reniflant. ton avant-bras passe sur tes yeux gonflés par les larmes. il a parlé avec les policiers, son visage te dit quelque chose. t'as toujours été perspicace et observatrice, alors tu conclus qu'il fait partie des forces de l'ordre. tu mettrais même ta main à couper que c'est le chef de la police, il a récemment pris ses fonctions. je vous écoute. parce que tu sais très bien qu'on va te poser des questions. t'étais aux premières loges. ton cerveau ne met pas longtemps à imprimer : tu vas sûrement être soupçonnée. aux premières loges de l'incident, prostrée sur le cadavre que tu n'as pourtant pas touché. tes yeux se posent lentement sur les environs, tu vois l'équipe médicale s'occupe du corps. puis tu reportes ton attention à l'agent qui se trouve en face de toi, les yeux encore pleins de larmes que tu essaies de réprimer.
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— et cætera
Sam 10 Oct - 17:31


La terrasse bondée laissait difficilement passer les festivaliers en son sein. Pourtant, de là où il se trouvait, il parvenait à voir, au travers de la foule, ceux qui s'attroupent face à la scène, et, un peu sur le côté, ceux qui s'attroupent face aux food-trucks.
Puis, sans qu’il ne l’explique, il ressent un énorme mouvement de foule. De ceux où tous les regards convergent vers la même direction. Où le silence tombe, et c’est peut-être ça le plus dérangeant. Et son coeur s’emballe ; car il n’est pas avec sa soeur et sa compagne. Alors il délaisse la chaise durement acquise (un coup de chance, vraiment) pour se relever, et dominer la majorité des personnes l’entourant. Son téléphone n’affiche ni nouveau message, ni nouvel appel. Panique.
Heureusement, les deux femmes émergent et convergent en sa direction. Le soulagement peut probablement se lire sur son visage. Mais elles semblent, elles, visiblement perturbées.
Il se passe quoi, là-bas ? Il a l’impression qu’un murmure s’est depuis répandu. Comme une rumeur, enflant de bouche en bouche, peut-être vraie peut-être fausse, qu’importe, pourvu que le bruit est transporté, pourvu que les badauds soient au courant en premier. Colporteurs, colporteurs, que le vent est bon pour celui qui le souffle.
On ne sait pas trop … quelqu’un se serait évanoui, je crois. D’autres semblaient dire qu’une femme est morte. Le regard de la Lloyd était un peu perdu, dépassée elle aussi, par la foule qui d’un coup bien pressée de se rassembler, ou de fuir. C’était confus, et la nuit qui approchait n’aidait pas vraiment.
Dax hausse finalement les épaules. Ils en sauraient plus bien assez vite, de toute manière. J’suppose que si quelqu’un est mort, on le saura très vite. En jetant un autre regard aux alentours, il essaie de percevoir des signaux : une ambulance, les pompiers, la police. Malheureusement, son regard échoue sur quelques uniformes appartenant soit à ces derniers, soit aux vigiles de l’événement. J’la sens pas trop, cette histoire …
Bon, vous avez faim du coup ?


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— et cætera
Lun 12 Oct - 13:44


@Harriet Lindberg @Maddox Blossom
"Bougez-vous." Que tu lances simplement à l’adresse d’Harriet et du garçon, parce que tu n’as pas la patience d’attendre et tu ne seras rassuré que lorsque vous serez très loin de tout ça. D’abord trouver Moriarty, le mettre sur ton épaule s’il le faut, et partir dans la direction opposée. Tu peux même les accueillir chez toi, enfin chez ta tante pendant une nuit ou deux, tu es certain qu’elle comprendra. Vous avez à manger, de la place et ta tante est devenue experte pour ne pas poser de questions gênantes, et tu es convaincu qu’elle aime déjà Momo. Donc vraiment, les festivals c’est surfait, autant passer à autre chose tout simplement. Tu marches à grande foulées, sans courir, faisant le chemin en sens inverse, persuadé que les deux autres te suivent, tu marques une pause cependant, en voyant un autre type que tu as déjà aperçu dans les journaux et que tout le monde connait à Bristol maintenant. "Merde. La police carrément ? Et je rêve ou c’est Frank Emmerson ?" Tu connais déjà la réponse à cette question, tout comme tu sais qu’il est désormais impossible de quitter les lieux avec un joli sourire et de simples excuses. "Putain, Momo a le don de se mettre dans la merde comme personne." Tu ne sais pas à qui tu dis ça, à la vie, à la personne qui veut bien t’écouter, aux deux autres… Tu sors ton téléphone de ta poche, tu essayes d’appeler Moriarty, parce que c’est la seule chose logique à faire, mais ça sonne, ça sonne, et ça sonne encore. "On ne va pas pouvoir partir ou bouger du tout." Tu te tournes enfin vers tes deux comparses, tu essayes le sourire, il est amer, pas naturel et tes yeux retombent sur Harriet. "Si quelqu’un veut retoucher son maquillage, c’est maintenant ou jamais les enfants, je prête même mon gloss." Tu lâches même un rire jaune et quand tu fais volte-face un policier est là, juste devant vous, les mains levées, pour vous faire signe de coopérer et de ne pas bouger. Si tu avais l’estomac rempli, tu vomirais, ouais, parce que te faire arrêter n’est vraiment pas dans tes plans, aujourd’hui ou un autre jour. "Veuillez rester dans le périmètre, on doit vous poser quelques questions." L’officier a la voix grave et quand ton regard croise le sien, tu regardes pas dessus ton épaule, vers les deux autres, parce qu’il n’y a rien de plus à ajouter à part un simple : "Everybody be cool." parce que c’est définitivement la pire journée du monde. This, this is why we can’t have nice things, que tu penses amèrement, maudissant tous les policiers presents.

En bref:

Henry St-James
you can't cage the beast.
Henry St-James
since : 08/05/2019
birds killed : 1049
faceclaim & credits : the cute gong yoo (공유) & elow ;
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— et cætera
inventory: a lot of stuff that can save your ass ;
topics: iris, clay
relationship:
Mar 13 Oct - 16:23




— The sun machine is coming down and we're gonna have party
AOUT 2020 / SUJET COMMUN

À force de trainer dans les locaux de la police, évidemment qu’Henry reconnaît Maria. Il n’a pas vraiment échangé avec elle, mais tout le monde sait qu’elle est liée à la Cosa par le sang. L’arrestation récente de Frank aurait pu pousser le big boss à se venger, et qui mieux comme victime que quelqu’un qui n’est pas la hauteur ? Henry ne fait que supposer, malheureusement, il ne s’est jamais attardé sur le sujet des Italiens et ne veux pas y mettre les pieds. Il a déjà trop à faire, avec les Mings. Ils sont fort pour éviter les médias, mais aussi pour tuer sous les yeux de tous sans être remarqués.

« Tu dois être contente, non ? » Qu’il adresse à Lulla, sans se préoccuper de Chloé – ah, ce n’était pas la petite peste, ça ? Peu importe. « Un super article en perspective, n’est-ce pas ? » Ajoute-t-il doucement à son oreille, s’éloigner à son tour dans la foule, alors qu’elle-même, fait quelques pas plus loin avec Chloé. Il a adressé un signe de tête au vendeur du Food truck, pour le laisser tranquille.

La police, étrangement efficace, se ramène au même moment, commence à poser des questions, à faire des groupes. N’ayant rien à dire, Henry fait signe à l’un des policiers qu’il connait pour échapper à l’interrogatoire.

« Alors, c’est vrai ? C’est Maria ? » Il acquiesce de la tête. « T’as rien vu, toi ? » Si seulement. « J’étais trop loin, et d’ailleurs, je vais te laisser, le devoir m'appel… » Il ne doit pas oublier ce pourquoi, il est venu, alors il tape à l’épaule du policer et retourne près des stands et autre camion. C’est que la demoiselle et toujours là, et qu’elle ne semble pas du tout préoccuper par ce qui se passe – non, c’est plus intéressant de faire des snaps.


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— et cætera
Ven 16 Oct - 3:21


« Maddox. » lance-t-il simplement alors qu'elle lui prend la main pour l'obliger à les suivre, bien malgré lui. Maddox n'a pas du tout envie de se lancer à la poursuite de Moriarty, d'autant plus qu'il a bien vu comment elle l'a regardé, Azel. Il aimerait pouvoir claquer des doigts et disparaître, mais rapidement, les policiers débarquent et tout semble se dérouler trop vite pour que l'adolescent comprenne réellement ce qui est en train de se passer. Le dénommé Yaya semble s'impatienter et Maddox, lui, fronce légèrement les sourcils alors qu'il n'écoute qu'à moitié. Emmerson ? Le nouveau chef de la police ? Il ne devait pas être bien loin pour se trouver déjà sur place, quelques minutes seulement après l'incident.

Les doigts glissent instinctivement dans sa poche afin d'y récupérer les deux ou trois joints qui s'y dissimilaient encore.

« Faut que je me débarrasse de ça. » lance-t-il en les laissant tomber sur le sol à ses pieds pour les piétiner sans les regarder, comme si de rien n'était. Tant pis, il en trouvera d'autres. Les policiers ont visiblement un cas plus grave à régler qu'un peu de weed en possession d'un mineur, mais Maddox n'est pas prêt à prendre le risque.

Lorsque le policier les interpelle, néanmoins, l'adolescent ouvre légèrement la bouche, surpris. Toute cette histoire augure trop mal pour qu'il se sente en sécurité et sans vraiment prévenir, Maddox se penche en avant et vomit bien malgré lui sur les chaussures du policier alors qu'il devient soudainement très pâle. On ne peut pas dire que la médecine légale soit un choix de carrière qui lui convient : les morts, ce n'est définitivement pas pour lui.

« Désolé. » murmure-t-il les yeux toujours baissés, l'estomac encore tout à l'envers.

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episode 3 : bristol summer festival
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